Une formation créée par Guillaume Alexandre, grand ponte du sourcing en Europe. C’est une formation pour apprendre le sourcing et devenir sourceur, un métier encore différent de celui du recruteur, d’après Guillaume Alexandre.
Un sourceur transforme un profil en candidat, un recruteur transforme un candidat en nouvelle recrue. Un sourceur est bicéphale :
<aside> 📣 Thibault Martin, Talent Sourcing Lead chez Microsoft a suivi la formation en direct de Guillaume Alexandre en juillet 2021.
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<aside> 🚨 Aujourd’hui, cette formation n’existe plus qu’à distance et en asynchrone puisque Guillaume Alexandre a rejoint les équipes de Meta**.**
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Pourquoi avez-vous choisi cette formation ?
Pouvez-vous vous présenter rapidement : poste, type d’entreprise, expérience, domaines de prédilection ?
Dans le recrutement depuis 20 ans, j’ai exercé toute la palette de métiers du recrutement, en cabinet et au sein d’éditeurs de logiciels. Depuis 5 ans, je me spécialise sur mes premières amours, le sourcing avec l’envie d’en être un ambassadeur auprès de mes pairs. La discipline se professionalise et évolue constamment. Nous avons la chance d’avoir un métier complexe, et plein de fun. A
ujourd’hui, je suis Talent sourcing lead auprès de Microsoft EMEA et anime une équipe d’une vingtaine de sourceurs.
Qu’avez-vous appris concrètement ?
Que le métier de sourceur n’est pas linéaire, c’est complexe et demande un alliage de compétences ultra large, je le savais déjà et je l’ai ré-appris Il y a différents types de sourceurs, certains orientés data, d’autres plus généralistes ou stratégiques.
La formation répond à tous les types de sourceurs, tous les types de réflexion, y compris sur le growth hacking, le scraping.
Avez-vous appris suffisamment ?
oui ! On ressort de cette formation avec un melon ultra gonflé sur les deux axes :
la date ET l’engagement candidat
Pouvez-vous résumer le contenu de la formation en une phrase ?
En quoi ce que vous avez appris vous est utile ?
1- La formation m’a permis de concrétiser l’envie d’investir sur la partie data je j’aime moins
On part du booléen pour aller vers le scraping, on a accès à tout ce qui peut se faire en techniques de sourcing : la recherche, l’identification, l’analyse et l’automatisation, à tout l’eventail des canaux de sourcing, comment je les choisis, comment je me créée une routine de sourcing.
Tous ces aspects trouvent réponses dans la formation et sont maîtrisés par le formateur.
2 - On parle aussi de l’engagement, une fois qu’on a identifié, comment j’engage un candidat avec les différentes techniques de com, le storytelling, la motivation, la psychologie. Comment je construis ma routine d’approche dans le but ultime de parler aux candidats qui m’intéressent.
Comment je construis et automatise cette approche et ces messages. Cela remet même en question des choses acquises. Par exemple, les booléens qui fonctionnent moins bien sur Linkedin et Google, on a des conseils sur l’algorithme et les dernières techniques de sourcing.
A votre avis, à qui est destinée cette formation en priorité ?
Quelqu’un qui fait du recrutement et du sourcing depuis 20 ans ne va pas découvrir sa discipline, mais cela permet de peaufiner ses messages, de les personnaliser, d’intégrer plus de psychologie, de trouver les “triggers” de mes messages.
Pour des gens qui ont fait 3-4 ans dans le recrutement, c’est carré, complet, il y a des case studies, des scénarios réels, de la mise en pratique.
À quels besoins répond-elle ?
A ceux des passionnés de sourcing, aux “hands-on” du sourcing et du recrutement